• Depuis le Naadam, nous n'avons pas chômé ! Nous sommes arrivés en Mongolie avec une opinion désastreuse sur Oulan-Bator : mégalopole remplie de pickpockets, sale et bruyante. En fait, c'est beaucoup mieux que ce que nous pensions. C'est même assez agréable, hormis le peu de courtoisie des Mongols. Ils nous passent devant (la file d'attente est un concept qui leur complètement étranger), semblent faire la tête quand nous commandons au resto, ne tiennent pas les portes, poussent... Nous avons du mal à nous y faire... Et heureusement que les enfants sont là et nous attirent des sympathies car sinon, ce serait pire !

    Nous nous sommes notamment attirés la sympathie du gérant de notre hôtel actuel. Il est même dingue de nous et dans le genre très exubérant ! Il vient nous voir vingt fois par jour pour nous apporter un verre, le petit déj, savoir si tout va bien, faire des risettes aux enfants... Nous avons donc eu droit à une bouilloire personnelle, qui nous permet de nous faire la cuisine de temps en temps le soir. Nous vous donnerons bientôt quelques recettes à la bouilloire. C'est super !

    Bref, nous avons poursuivi notre visite de la ville en allant voir le monastère Gandan. Les enfants ont fait une entrée tonitruante dans l'enceinte des temples à cause de la présence de pigeons. Il y en a beaucoup car les gens les nourissent à l'aide de graines vendues dans le monastère. Mais pour nos enfants (et les enfants en général d'ailleurs), pigeons = courir en criant pour qu'ils s'envolent... Ce qui est relativement mal vu quand des boudhistes sont tranquillement en train de les nourrir... Nous avons donc du nous aussi acheter des graines pour que Titouan et Lola se tiennent tranquilles avec ces satanées bestioles !

    Un peu de ville et un peu de campagne

    Un peu de ville et un peu de campagne

    Un peu de ville et un peu de campagne

    Un peu de ville et un peu de campagne

    Un peu de ville et un peu de campagne

    Un peu de ville et un peu de campagne

    Un peu de ville et un peu de campagne

    Le principal intérêt du monastère est la présence d'une immense statue de Bouddha dorée, assez impressionnante. Il y a également des centaines de moulins de prière à faire tourner, ce qui nous amuse beaucoup.

    Un peu de ville et un peu de campagne

    Un peu de ville et un peu de campagne

    Un peu de ville et un peu de campagne

    Un peu de ville et un peu de campagne

    Un peu de ville et un peu de campagne

    Un peu de ville et un peu de campagne

    Un peu de ville et un peu de campagne

    Un peu de ville et un peu de campagne

    Un peu de ville et un peu de campagne

    Nous avons également été faire un tour dans la campagne environnante. Nous étions accompagnés de Loïs, une Anglaise partie rendre visite à ses filles en Australie depuis l'Angleterre en prenant le moins possible l'avion. Elle a prévu d'arriver pour Noël...

    Un peu de ville et un peu de campagne

    Un peu de ville et un peu de campagne

    Un peu de ville et un peu de campagne

    Cette excursion nous a permis d'admirer une énorme statue de Gengis Khan, qui est vraiment la super-star locale, construite au dessus d'un petit musée sans grand intérêt. La statue par contre vaut la peine d'être vue.

    Un peu de ville et un peu de campagne

    Un peu de ville et un peu de campagne

    Un peu de ville et un peu de campagne

    Un peu de ville et un peu de campagne

    Un peu de ville et un peu de campagne

    Nous sommes ensuite allés dans le parc national de Terelj, un endroit très beau et boisé, ce qui est rare en Mongolie. Nous sommes montés sur le rocher de la tortue. Au centre d'un petit espace clos par des rochers, se trouve une pierre qui semble servir d'autel à des offrandes aux dieux boudhistes. Les cadeaux qui s'y trouvaient sont les mêmes que dans les temples et assez amusants. Les gens donnent de l'argent mais aussi des bonbons, des gâteaux, des cigarettes (parfois allumées), des graines, des petites bouteilles d'alcool... C'est rigolo !

    Un peu de ville et un peu de campagne

    Un peu de ville et un peu de campagne

    Un peu de ville et un peu de campagne

    Un peu de ville et un peu de campagne

    Un peu de ville et un peu de campagne

    Un peu de ville et un peu de campagne

    Un peu de ville et un peu de campagne

    Un peu de ville et un peu de campagne

    Vu que le chemin était très escarpé, Sandrine est montée seule en haut en laissant Djamel avec les enfants en bas. Elle les laisse cinq minutes et à son retour, elle a découvert son mari cerné de Mongols faisant la queue pour se faire prendre en photo avec lui ! Une vraie star ! Apparemment, ils l'ont pris pour un champion de lutte.

    Un peu de ville et un peu de campagne

    Un peu de ville et un peu de campagne

    Les enfants sont souvent pris en photo et à notre grand étonnement, se laissent faire. Les cheveux bouclés semblent avoir du succès, ceux des Mongols étant lisses.

    Nous avons terminé la journée par la visite du centre de méditation bouddhique d'Aryapala, situé à côté. ça grimpe un peu mais la cadre est superbe et invite effectivement à la méditation.

    Un peu de ville et un peu de campagne

    Un peu de ville et un peu de campagne

    Un peu de ville et un peu de campagne

    Un peu de ville et un peu de campagne

    Un peu de ville et un peu de campagne

    Un peu de ville et un peu de campagne

    Un peu de ville et un peu de campagne

    Un peu de ville et un peu de campagne

    Un peu de ville et un peu de campagne

    Un peu de ville et un peu de campagne

    Un peu de ville et un peu de campagne

    Le reste du temps, nous nous promenons tranquillement dans le quartier (qui semble être celui des karaokés vu le nombre...) et avons découvert des jeux d'enfants couverts (un peu comme Galipi ou Youmbao, pour ceux qui connaissent mais en beaucoup plus petit). Titouan et Lola ont donc droit à une heure ou deux par jour de défoulement. Ils sont ravis !

    Nous commençons à toucher du doigt la culture asiatique, même si ici, elle est très mélée à la russe (des décennies de communisme à la russe ont laissé des traces...). Il y a en particulier un truc qui nous amuse, c'est leur hantise du bronzage. Ils veulent être le plus pâles possible, comme les Coréens ou les Japonais. Nous avons d'ailleurs beaucoup rit dans une famille mongole car le grand garçon, étudiant, se plaignait de trop bronzer à la campagne. Il était dépité, inquiet pour son charme.

    Comme dans beaucoup d'endroits, les jeunes Mongols ne veulent pas rester à la campagne et vivre une vie nomade. Ils veulent tous aller à Oulan-Bator ou mieux, partir à l'étanger. Les Etats-Unis et la France semblent avoir du succès, même s'ils ont une idée sans doute bien éloignée de la réalité française. Pour beaucoup, la France, c'est Vuitton, Chanel, L'Occitane et... Yves Rocher. Dans tous les pays traversés d'ailleurs, la plupart des gens résume la France au bon vin, à la bonne cuisine et aux marques de luxe. Difficile de casser le mythe et de faire comprendre que le niveau de vie n'est pas mirobolant en ce moment...

    Enfin, nous allons aborder le sujet de prédilection de Djamel : la conduite en voiture ! C'est du grand n'importe quoi ! En fait, ils conduisent en ville comme s'ils étaient sur des pistes en pleine campagne. Respecter la file et rester dans sa voie est juste impossible pour eux. Nous avons souvent vu cinq rangées de voitures sur ce qui normalement n'est qu'une deux voies : trois voitures sur les deux voies et une autre sur chaque bas côté ou trottoir.

    Face à ce gros bordel, la plupart reste impassible. Ils se font doubler dans les embouteillages par la droite ou par la gauche et ne disent rien. C'est ce qui impressionne le plus Djamel...

    Dernier aspect intéressant : le nombre très important d'escortes. Pendant le Naadam, nous avons vu des dizaines de 4x4 noirs aux vitres teintées passées à toute allure devant tout le monde escortés par la police et suivis d'une ambulance. On n'imagine pas qu'il y a autant de gens importants en Mongolie...

    A bientôt pour la suite des aventures.

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  • Nous sommes aujourd'hui le 14 juillet, donc exactement à la moitié de notre périple.

    Nous traversons des pays très différents, plus ou moins dépaysants mais toujours intéressants. Chacun apprécie certaines choses plus que d'autres : Djamel, les gens et les ambiances ; Sandrine, les grandes étendues désertiques et le mélange de traditionnel et de modernité ; Titouan, les grands espaces où courir et crier et les dinosaures ; Lola, les bonbons et les "Ninas" (toutes les petites filles s'appellent Nina dans le monde de Lola). Il y a aussi les choses que chacun redoute : Djamel, la chaleur ; Sandrine, les contre-temps ; Titouan, le froid ; Lola, les papillons (traduction : les insectes morts). Nous composons avec !

    Nous ne regrettons à aucun moment d'être partis avec des enfants jeunes. Les voir aussi épanouis en Mongolie est extraordinaire. Voir les gens s'intéresser autant à eux est aussi un plaisir.

    Nous exploitons également de mieux en mieux les enseignements de ces premiers cinq mois. Nous faisons moins de km pour davantage profiter des lieux visités. Ce sera d'ailleurs sans doute un des retours d'expérience (sécurité civile, sors du corps de Sandrine !) de ce tour du monde. Vues de notre petite maison à Drain, les distances et les surfaces nous paraissaient moins grandes...

    A dans un mois pour un autre bilan calédonien.


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  • La fête du Naadam, c'est comme si on célébrait en même temps Noël, le jour de l'an, le 14 juillet, l'Aïd, l'arrivée du tour du France... C'est LA fête annuelle qui réunit les Mongols et qu'ils préparent toute l'année. Pendant le mois de juillet, tout tourne autour du Naadam, les pubs, les émissions de télé, les discussions... Il y a bien une autre fête, le Tsagaan Sar, qui ressemble à notre nouvel an mais elle a lieu en février (quand il fait -30° !) et est plutôt familiale.

    Le Naadam est l'une des fête les plus anciennes du monde. Elle remonte à la grande époque de Gengis Khan, au 13ème siècle. Les cérémonies les plus importantes sont à Oulan-Bator où elles ont lieu tous les ans les 11 et 12 juillet. Dans les villages, elles se déroulent avant ou après, en version beaucoup plus petite.

    Cette année, les festivités ont commencé dès le 10 juillet avec la prise de fonction du nouveau président, élu le 26 juin. Des cérémonies officielles se sont étalées dans la journée. Nous en avons vu une le soir, sans bien comprendre de quoi il s'agissait... Une sorte de parade militaire.

    L'évènement de l'année en Mongolie : le Naadam !!!

    L'évènement de l'année en Mongolie : le Naadam !!!

    De nombreuses animations étaient organisées sur la grande place centrale d'Oulan-Bator, Sukhbaatar, du 10 au 12 juillet : concerts tous les soirs, feux d'artifice, jeux, photos de famille... Et même une exposition de squelettes de dinosaures à laquelle nous n'avons pas pu échapper...

    L'évènement de l'année en Mongolie : le Naadam !!!

    L'évènement de l'année en Mongolie : le Naadam !!!

    L'évènement de l'année en Mongolie : le Naadam !!!

    L'évènement de l'année en Mongolie : le Naadam !!!

    L'évènement de l'année en Mongolie : le Naadam !!!

    Le Naadam consiste en des épreuves sportives dans une ambiance très festive. Depuis toujours, trois disciplines sont présentes : la lutte, le tir à l'arc et la course de chevaux. C'était une manière de mettre en compétition les plus valeureux guerriers.

    L'évènement de l'année en Mongolie : le Naadam !!!

    La lutte et le tir à l'arc ont lieu dans le stade du Naadam. Nous n'avions pas de places mais comme nous avions déjà assisté de très près à de la lutte dans un village, ce n'était pas grave ! Nous sommes allés aux abords du stade le 11 juillet pour profiter de l'ambiance, qui est bien au rendez-vous. C'est en fait une gigantesque foire/fête foraine. Il y a des stands de jeu, des manèges, des babioles à acheter... Les enfants ont bien profité des manèges. Nous nous sommes vraiment demandés comment ils pouvaient marcher... Ils étaient tout brinquebalants et branchés sur une prise électrique 220 volts. Le "forain" débranchait et rebranchait simplement la prise pour les faire arrêter et redémarrer.

    L'évènement de l'année en Mongolie : le Naadam !!!

    L'évènement de l'année en Mongolie : le Naadam !!!

    L'évènement de l'année en Mongolie : le Naadam !!!

    L'évènement de l'année en Mongolie : le Naadam !!!

    Il y a également de nombreux stands de restauration mais qui vendent tous la même chose : des chaussons frits au mouton. ça sent la friture et le mouton partout... Nous ne sommes pas fans...

    L'évènement de l'année en Mongolie : le Naadam !!!

    L'évènement de l'année en Mongolie : le Naadam !!!

    Le soir, DJ Gaana donnait un concert sur la place principale, dans une ambiance très bon enfant, avec mongolfières en déco. Vers 23h, quatre feux d'artifice ont été tirés en même temps. C'était plutôt une succession de bouquets finals tellement il y avait de fusées.

    Notre hôtel donnait sur la place, ce qui était super pour voir les concerts et feux d'artifice mais qui avait aussi quelques inconvénients... Nous avons eu droit à des concerts avec basses à fond tous les soirs jusqu'à minuit et le 11, la musique a commencé à 4h30 du matin !

    L'évènement de l'année en Mongolie : le Naadam !!!

    Le lendemain, nous sommes allés voir les courses de chevaux à Khuin doloon khudag, à 60 km d'Oulan-Bator. Les chevaux courent de 15 à 30 km selon leur âge et les cavaliers ont entre 5 et 12 ans. Ce sont les pères et grands-pères qui entrainent enfants et chevaux, pendant que les mères restent prier à la yourte...

    Il y avait beaucoup de monde mais quasiment aucun touriste, ce qui changeait radicalement avec les abords du stade du Naadam. Nous avons trouvé une petite place au milieu de la foule au niveau de la ligne d'arrivée de la course, tout contents de pouvoir voir quelque chose. Puis, des cavaliers se sont placés derrière nous. Nous avons bien profité de l'ambiance un peu survoltée en attendant. Il y avait juste le monsieur à côté de Sandrine qui semblait s'inquiéter pour nous et surtout, qui insistait beaucoup pour qu'elle prenne Titouan dans les bras... Ce qu'elle a fini par faire, lassée de lui expliquer par gestes que nous le porterions au dernier moment...

    L'évènement de l'année en Mongolie : le Naadam !!!

    L'évènement de l'année en Mongolie : le Naadam !!!

    L'évènement de l'année en Mongolie : le Naadam !!!

    L'évènement de l'année en Mongolie : le Naadam !!!

    L'évènement de l'année en Mongolie : le Naadam !!!

    Nous avons donc vu le gagnant passer la ligne d'arrivée sous les bravos de la foule. C'est juste après que les choses se sont gâtées... La sueur des chevaux qui font les courses du Naadam porte bonheur. Il faut en récupérer pour s'en mettre sur le front. C'est pour cette raison que tous les gens qui nous entouraient se sont d'un coup précipités vers le gagnant, provoquant un mouvement de foule ! Nous nous sommes donc retrouvés coincés entre les Mongols hystériques en quête de sueur de cheval et les chevaux placés derrière. Sandrine et Titouan se sont tout de suite trouvés mis à l'écart mais Djamel et Lola ont été un peu bousculés. Rien de grave au final mais nous avons eu une bonne grosse frayeur...

    L'évènement de l'année en Mongolie : le Naadam !!!

    L'évènement de l'année en Mongolie : le Naadam !!!

    L'évènement de l'année en Mongolie : le Naadam !!!

    L'évènement de l'année en Mongolie : le Naadam !!!

    Ce qui nous faisait le plus peur était que les chevaux présents dans la foule s'emballent mais ils sont restés extrêmement calmes, beaucoup plus que les humains ! Les chevaux sont remontés dans notre estime !

    Nous avons rapidement compris que les cavaliers placés à l'arrière étaient en fait les entraineurs. Ils attendaient l'arrivée de leur enfant pour le sortir au plus vite de la foule. En effet, le comportement des Mongols prêts à tout pour toucher les chevaux était assez effrayant... Les entraîneurs donnaient des coups de cravaches et de bâtons pour traverser la masse de personnes. Les enfants, qui avaient déjà fait une course éreintante, semblaient pour la plupart affolés.

    Nous, nous nous sommes mis à l'écart mais avons quand même observé un bon moment ce spectacle aussi fascinant qu'effarant.

    Et une fois la course finie, tout redevient normal. Tout le monde descend de la colline pour aller manger des beignets de mouton dans les yourtes-restaurants...

    Le soir, nous avons vu par hasard, au supermarché, le dernier combat de lutte à la télé. Le gagnant est un vraie star ! La lutte est le sport de prédilection des Mongols. Ils adorent !

    En Mongolie, il y a tout un rituel autour des combats. Les lutteurs commencent par faire la danse de l'aigle, dans un slip coloré avec un boléro, un chapeau et des bottes. C'est gracieux comme tout... Le gagnant a ensuite le droit de boire un lait de jument spécial et le perdant doit passer sous ses bras.

    Pendant ces trois jours, les Mongols sortent leur plus beaux vêtements. Beaucoup d'enfants et d'adultes portent les costumes traditionnels très colorés. Les autres s'habillent en suivant la mode occidentale ou japonaise. C'est amusant de voir les femmes en robe courte et moulante avec des talons immenses au milieu des champs... Nous avions donc mis nos plus beaux shorts de voyageurs pour le Naadam ! Nous avions aussi bien décrassé les enfants qui avaient battu le record de saleté du désert de l'Atacama au Chili (tu vois le niveau Caroline ?).

    L'évènement de l'année en Mongolie : le Naadam !!!

    L'évènement de l'année en Mongolie : le Naadam !!!

    L'évènement de l'année en Mongolie : le Naadam !!!

    Nous sommes très contents d'avoir participé au Naadam et de l'avoir vu à la fois dans un village et à Oulan-Bator. C'est vraiment une fête incontournable en Mongolie.

    Nous poursuivons maintenant notre découverte d'Oulan-Bator et des Mongols. La suite bientôt...

    Nous avons également quelques messages perso à passer :

    - Mariama : tu sembles apprécier la Mongolie, sache qu'il y a même des Yves Rocher ici ! C'est une marque française de luxe. Incroyable !

    L'évènement de l'année en Mongolie : le Naadam !!!

    - Manon et Valentin (et tous ceux qui ont obtenu un diplôme) : Bravo ! Félicitations !

    - La voisine de Solange : pour nous laisser un message, il faut cliquer sur "commentaires" en bas de l'article, puis aller dans "ajouter un commentaire". Ensuite, vous entrez votre nom et votre message et vous terminez pas cliquer sur "envoyer". Bon courage !

    - Théo : Tonton Djamel a dit que tu étais bidon à Fifa...

    A bientôt.

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  • Nous avons tellement de trucs à raconter qu'un seul article, c'était beaucoup trop gros...

    Reprenons ! Nous avons ensuite poursuivi vers Kharkhorin, la cité de Gengis Khan, ancienne capitale du pays au 13ème siècle. Nous nous attendions à une vraie ville, avec des bâtiments, des monuments, des rues... Bon, en fait, c'est un village... Bien plus petit que Drain... Mais la ville (on dit le chef-lieu dans ce cas) comporte un très beau monastère où nous avons mieux saisi les rituels bouddhistes.

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 2)

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 2)

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 2)

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 2)

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 2)

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 2)

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 2)

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 2)

    Le soir, nous avons dormi dans la famille d'Enkhtuvshin, une de nos préférées. Ils nous ont posé pas mal de questions sur notre voyage. Deux ados faisaient partie de cette famille. C'est vraiment amusant de constater que tous les ados se ressemblent. Le garçon faisait le malin et embêtait sa mère ; la fille avait une bande de copines très attentives à leur coiffure !

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 2)

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 2)

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 2)

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 2)

    Nous ne sommes restés qu'une nuit pour ensuite nous rendre dans le parc de Khustain Nuruu (pour écrire cet article, Sandrine a le nez collé au programme du circuit. Sinon, impossible de retrouver ces noms et encore moins de les écrire correctement !). Cet endroit est connu pour accueillir des chevaux sauvages appelés chevaux de Przewalski. Ils sont, parait-il, reconnaissables à leur pelage et à leur longue mâchoire. Nous ne pourrons pas confirmer... Nous n'en avons vu un que de très loin et c'est parce qu'il boitait... Mais nous en avons vu un quand même !

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 2)

    Un peu plus tôt dans la journée, nous nous étions arrêtés pour assister à la fête du Naadam dans un village. Lutte et course de chevaux au programme. Mais comme nous allons assister au grand Naadam d'Oulan Bator, nous vous expliquerons plus tard en quoi consiste cette fête.

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 2)

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 2)

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 2)

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 2)

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 2)

    Ce soir-là, nous avons dormi dans la famille de Batchuluun. C'est sans doute celle que nous avons le moins appréciée car c'était la plus professionnelle de l'accueil de touristes. Déjà, ils parlaient anglais, ce qui rompait un peu le charme. Et certaines choses étaient bien rodées, comme l'accueil en tenue traditionnelle ou le départ avec le lait jeté sur le véhicule.

    En plus, il y avait deux petits garçons de 6 et 7 ans, deux petites terreurs, qui jouaient un peu brutalement avec Titouan. A deux contre un, ce n'était pas très équitable !

    Pour la dernière partie, nous avons dû faire un grand détour suite à l'effondrement d'un pont. Nous aurons beaucoup roulé sur des pistes bien cahoteuses. Et même quand il y avait des routes, nous faisions quand même régulièrement de la piste car pendant l'été, la plupart des voies sont en réparation. Nous avons donc été bien secoués !

    A chaque pause dans une famille, notre chauffeur Tohgo passait tout son temps à bichonner son van 4x4. Il le lavait, l'entretenait, le réparait... Une vraie passion !

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 2)

    En tout cas, nous sommes très admiratifs envers Tohgo. Comment se repérait-il au milieu de steppes où tout se ressemble, sans aucune indication, avec des pistes qui partent dans tous les sens ? Un vrai mystère pour nous...

    Nous avons beaucoup aimé la dernière famille, celle d'Ulziibat. Surtout la maîtresse de maison (de yourte plutôt !), une grande bavarde très rigolote. Cette famille n'a que des garçons. Ils sont donc tous tombés amoureux de Lola et pour blaguer (enfin, c'est que nous avons pensé...), nous ont fait plein de propositions de troc. Nous avons démarré à trois chameaux et après négociations, avons obtenu six vaches !

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 2)

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 2)

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 2)

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 2)

    Nous avons passé pas mal de temps dans la yourte à discuter, les regarder vivre et surtout à manger. La mère avait entrepris de gaver les enfants. Ils ont donc alterné bonbons, chocolats, gâteaux...

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 2)

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 2)

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 2)

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 2)

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 2)

    En fond, nous avions la vue sur le début du désert de Gobi.

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 2)

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 2)

    Sans oublier la petite dédicace à la D team, et encore merci pour vos cadeaux, mais vous auriez pu choisir autre chose que du blanc!!!!!!

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 2)

    Nous sommes revenus à Oulan-Bator hier. Le changement avec les steppes mongoles est radical ! Mais ce sera pour le prochain épisode...

    Nous sommes rentrés très sales, sans plus aucun vêtement propre. En effet, à part dans la famille de Batsukh où il y avait une rivière, l'eau est rare et il faut aller la chercher loin. Nous avons donc beaucoup limité notre consommation... C'est d'ailleurs très intéressant de les voir faire la vaisselle ou laver le linge avec aussi peu d'eau. Nous avons certainement beaucoup à apprendre...

    Titouan a eu droit à un anniversaire inoubliable. Le matin, notre famille d'accueil lui a offert une boîte de chocolats, engloutie presque immédiatement (il a partagé !). En fin d'après-midi, nous sommes allés voir un spectacle de chants, musiques et danses mongoles. Les danses étaient assez exceptionnelles. Et nous avons terminé par un diner au restaurant, beaucoup trop copieux !

    Nasan avait été acheté un gros gâteau au chocolat avec plein de bougies. Les serveurs l'ont apporté en chantant "Happy birthday to you" et ont mis un petit chapeau sur la tête de Titouan. Nous avons même tous eu droit à des cadeaux ! Mais le plus beau cadeau de Titouan a sans doute été SON gâteau, qu'il a attendu toute la journée et n'a plus voulu quitter ensuite. Nous avons dû rapporter le reste à l'hôtel et le manger au petit déjeuner !

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 2)

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 2)

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 2)

    Au sujet de la nourriture, qui a été une des craintes de Djamel depuis plusieurs mois... Nous avons mangé des raviolis à la viande, des beignets sucrés, du fromage sec, des petits fromages sucrés en forme de congolais (le gâteau), du beurre de yack, des beignets au boudin noir, des chaussons à la viande, du yaourt et surtout, surtout, des pommes de terre avec des carottes, des oignons, du mouton et des féculents (riz ou pâtes). Nous avons essentiellement mangé ce plat, sous forme de ragoût, de soupe, revenu dans la marmite... Les jours de fête, il y avait quand même du choux et des poivrons !

    Nous avons bu beaucoup de thé au lait, un peu de lait et d'airag (lait de jument fermenté). Le thé et le lait sont plutôt bien passés. L'airag, nous avons eu du mal... ça pique !

    La cuisine mongole n'est donc pas mauvaise mais assez peu variée. Vu le climat, très peu de légumes pousse et il n'y a quasiment aucun fruit. ça limite donc les recettes... Djamel n'a, comme prévu, pas mangé grand chose, Titouan a mis cinq jours à accepter de manger, Lola a bien mangé mais peu... Sandrine s'est donc souvent retrouvée à manger pour deux ou trois pour faire bonne figure devant les familles ! Elle s'est vengée en regardant Djamel être obligé de goûter car on ne peut pas refuser quand l'hôte offre à boire ou à manger...

    De notre côté, nous leur avons proposé un plat français un soir. Les méthodes de cuisson étant simples (un wok sur le feu) et les ingrédients réduits, nous avons opté pour un poulet basquaise, qui a, semble-t-il été apprécié.

    Parmi les aspects amusants de la Mongolie, nous pouvons citer ceux-là :

    - le volant des voitures est soit à droite, soit à gauche, en fonction de l'origine de la marque de la voiture.

    - les nomades n'ont pas l'eau courante, un peu d'électricité par panneau solaire et un confort très sommaire mais ils ont la télé et le téléphone ! Nous avons du coup pu suivre une série coréenne tous les soirs qui semblent passionner les Mongols, avec une certaine "Iki" qui ne peut pas avoir d'enfants. C'est dommage, nous n'avons plus la télé à l'hôtel...

    - pour Agathe, Caroline et les autres fans de Causette : j'ai donné un exemplaire à Nasan qui l'a laissé quelques instants dans la yourte familiale. Batsukh, le fameux chasseur de loup, s'en est immédiatement emparé pour le feuilleter. A sa tête, les images l'ont beaucoup amusé ! Dommage que je n'ai pas eu l'appareil photo à ce moment car c'était la publication assurée dans le prochain numéro ! Un chasseur de loup mongol qui lit Causette dans sa yourte !

    Titouan et Lola ont adoré la vie chez les nomades ! Tout était parfait pour eux : courir, crier, sauter sans gêner personne, jouer avec plein d'enfants, ne pas se laver, voir des animaux tout le temps, se reposer dans le van, dormir dans la yourte... Nous recommandons totalement la Mongolie avec des enfants de cet âge. C'est le paradis pour eux ! Allez en Mongolie avec vos enfants !

    Ludivine, nous avons aussi pensé à toi et collecté quelques idées pour la Ruade :

    - des courses de chevaux mais avec des enfants de 5 à 12 ans, comme en Mongolie, et de préférence à cru, sans bombe, ni équipement. Ici, le gagnant remporte une voiture ! Penses-y dès maintenant pour Loïc !

    - du lait de jument fermenté. Il faudra juste habituer les palais français... Pas gagné... Sauf si tu passes à l'étape 2, la transformation en "vodka de lait".

    - la réintroduction de chevaux de Przewalski dans les bois d'Egriselles. Ils sont juste un peu sauvages...

    Nasan, Titouan et Lola se sont très bien entendus, adorés même. Les enfants se battaient pour s'assoir sur ses genoux en voiture ; le matin, Lola la réclamait dès son réveil. Nous aussi, nous avons beaucoup apprécié Nasan et Tohgo, toujours de bonne humeur et disponibles. Merci infiniment à vous pour ces moments...

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 2)

    A bientôt. La Mongolie nous rend bavards... Tata Nadia va être contente...

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 2)

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  • Il y a tellement de choses à raconter. Nous ne savons pas par où commencer...

    Ces quelques jours avec des nomades ont vraiment été enrichissants. Il nous a fallu un petit temps d'adaptation au départ pour nous mettre au rythme, comprendre leur mode de vie et profiter de ces moments. Mais au final, ce fût vraiment de super journées.

    Nous sommes pour la première fois depuis le début du voyage passés par une agence, Nomad Planet. En effet, il est très difficile de faire sans. Un chauffeur est indispensable car les routes et pistes ne sont pas indiquées et un interprête aide considérablement à apprécier le voyage. De plus, l'accueil dans des familles nomades nécessitent les services d'une agence. Nous sommes très satisfaits de la nôtre, très à l'écoute de nos envies.

    Les paysages sont tels qu'on les imagine : des steppes à perte de vue qui donne un sentiment de grande liberté. Néanmoins, nous n'avons pas eu l'impression d'un pays déserté de ses habitants comme en Patagonie car partout il y a des nomades. Il est très rare de ne pas apercevoir au moins une yourte. Les animaux sont également présents partout.

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 1)

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 1)

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 1)

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 1)

    Les Mongols ne sont pas un peuple facile d'accès. Nous avons d'ailleurs été un peu déstabilisés car nous avons l'habitude de contacts aisés. Notamment grâce aux enfants, les gens viennent souvent facilement vers nous pour nous parler, nous sourire, nous dire bonjour... Les Mongols sont réputés comme étant timides et réservés. Au premier abord, ce trait de caractère passe pour de l'indifférence, voire de l'agressivité. Souvent, ils ne disent pas bonjour, répondent sèchement ou donnent l'impression qu'on les gêne. En ville, ils sont également assez peu courtois, bousculent, passent devant sans aucun état d'âme. Ce sont des comportements dont nous n'avons pas l'habitude.

    Heureusement que nous avons voyagé avec une agence car avec les explications de l'interprête et le fait d'être accueillis dans des familles, nous avons pu mieux comprendre le caractère des Mongols. Il faut également préciser que le tourisme est encore récent dans ce pays.

    Un tiers de la population est encore nomade. Ce mode de vie est lié aux conditions climatiques assez extrêmes du pays : -30° l'hiver et 25° l'été ! Pas mal l'amplitude thermique... Les nomades se déplacent quatre fois par an pour trouver les lieux les plus adaptés au climat et à la végétation.

    Mais encore une fois, les enfants nous ont bien servis ! Il y a pas mal de touristes qui viennent avec des enfants mais rarement aussi jeunes. Ils nous ont donc permis de lier les premiers contacts. Et inversement, il était aussi plus facile pour nos hôtes de leur parler à eux en premier.

    Après ces premières considérations, reprenons depuis le début ! Nous avons commencé notre périple le 30 juin en quittant Oulan-Bator avec Nasan, notre interprête et Tohgo, notre chauffeur. Notre première étape était la réserve naturelle de Khugun-Khan où nous avons été accueillis par la famille de khadaa. Il y avait toute une ribambelle de petites filles et un petit garçon qui ont beaucoup joué avec Titouan et Lola...

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 1)

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 1)

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 1)

    La première rencontre avec un nomade a été à la hauteur de nos espérances. Il est venu se présenter habillé de son grand manteau bleu avec une ceinture orange, le vêtement traditionnel qu'ils portent tous, souvent avec une épaule dégagé, puis est monté sur son cheval pour partir au galop vers la steppe...

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 1)

    Le reste du temps, il joue au volley et fait des bras de fer...

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 1)

    Les nomades sont essentiellement éleveurs de chevaux, de vaches, de moutons, de chèvres et de chameaux (oui, de chameaux !). Ils ont des troupeaux plus ou moins importants selon leur richesse. Pour les rassembler ou les déplacer, ils utilisent des chevaux ou... des motos. En voyageant dans les steppes, on a une impression de territoire immense et peu occupé. Et pourtant, il y a tellement d'animaux que les terres sont actuellement en train d'être saturées.

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 1)

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 1)

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 1)

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 1)

    Pendant ces dix jours, nous avons dormi et vécu dans des yourtes, toutes différentes les unes des autres. On y est plutôt bien car elles préservent la fraicheur la journée et sont chaudes la nuit.

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 1)

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 1)

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    Nous avons également visité notre premier monastère boudhiste. Ils sont constitués de plusieurs petits temples, tous très colorés. Quasiment tous les monastères de Mongolie ont une trentaine d'années. Le régime communiste les avait tous détruit au début du XXème siècle. Ils ont donc en grande partie été reconstruits après la révolution démocratique dans les années 1990.

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 1)

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    Rendez-vous en terre inconnue (partie 1)

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    Nous sommes ensuite allés dans la vallée d'Orkhon, un site magnifique, le plus beau que nous avons vu en Mongolie. Sur la route, nous nous sommes arrêtés pour voir une cascade, mais qui n'avait malheureusement pas beaucoup d'eau.

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 1)

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    La famille de Batsukh est celle qui était la mieux installée grâce à la présence d'un petit cours d'eau à côté des yourtes. Dommage, il y avait beaucoup d'insectes, notamment des taons...

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 1)

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    Rendez-vous en terre inconnue (partie 1)

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 1)

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 1)

    Batsukh est éleveur de yacks et surtout chasseur de loups ! ça fait son effet !

    L'hospitalité est une valeur primordiale pour les nomades. Les yourtes sont donc de vrais moulins ! Il y a en permanence quelqu'un qui arrive, s'assoit prendre un thé au lait, discute et repart. Au début, nous avions un peu de mal à suivre, d'autant plus que souvent, les visiteurs nous ignoraient...

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 1)

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    Un autre aspect important de la vie des Mongols : la lutte ! C'est le sport mongol par excellence. Il y a en permnance à la télé et les Mongols en regardent énormément. Tous nos hôtes sans exception ont demandé à Djamel s'il faisait de la lutte !

    Chez Batsukh, Titouan s'est essayé là-bas au rassemblement des moutons et des chèvres avec la petite fille de la famille. Un vrai moment de joie où il a pu hurler et courir autant qu'il le voulait ! Nous avons aussi assisté à la naissance d'un bébé yack. Mais bien à distance, car nous étions prévenus que la maman yack risquait de nous attaquer si nous nous approcions trop...

    Rendez-vous en terre inconnue (partie 1)

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    Le ciel mongol est réputé pour son bleu incomparable. Il est effectivement d'une couleur extraordinaire. La nuit aussi vaut la peine. Sans pollution visuelle, les étoiles sont beaucoup plus visibles.

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