• Et même que pour revenir en Asie, nous avons testé rien que pour vous le vol long courrier en low cost ! Nous avons fait un vol de 8h30, puis un autre de 1h30 avec Air Asia. Rien à dire sur les avions. Par contre, le personnel à bord ne remplit pas vraiment les fonctions d'hôtesses et de steward car ils sont trop occupés à être vendeurs... De tout et n'importe quoi, du repas à la couverture, en passant par des jouets, des bijoux, des vêtements... Mais pour le prix, nous n'allons pas nous plaindre !

    La seule anicroche du voyage a été causée par une jeune femme qui s'est permis de disputer Lola un peu agitée pendant 5 minutes (sans minimiser !) sur la fin alors que celle-ci avait été sage tout le vol. Vu la réaction de Djamel, elle ne recommencera sans doute pas de si tôt à disputer les petites filles dans les avions...

    Nous avions quelques inquiétudes liées au climat avant d'arriver en Thaïlande. En effet, nous nous sommes un peu plantés dans le choix des dates du séjour par rapport aux saisons dans ce pays. Pour être tout à fait exacts, au début, nous ne devions pas aller en Thaïlande en octobre (car nous sommes des gens sérieux qui vérifient le climat d'un pays avant). Mais, pour nous ne savons plus quelle raison, ce séjour a dû être changer de dates et nous n'avons pas re-vérifié que ça collait...

    Bref, nous sommes à la fin de la mousson. Sauf que cette fin connaît un regain d'activité et qu'octobre est donc un mois très arrosé... Heureusement, il ne pleut pas en continu. De grosses averses (parfois longues aussi...) alternent avec un temps plus sec et couvert ou même carrément beau.

    Le gros avantage est que nous nous trouvons donc en basse saison. Et c'est énorme comme avantage ! Les hôtels cassent vraiment les prix, ce qui nous permet de nous offrir des logements que nous n'aurions même pas osé envisagé. Et il n'y a personne. Le tourisme dans les îles du sud en haute saison (l'hiver) semble effectivement atroce !

    Nous avons atterri à Phuket, île bien connue pour son ambiance alcoolisée, son tourisme de masse et son tsunami. Djamel insiste pour que Sandrine écrive aussi "ses putes". Vu ce contexte (tout à fait caricatural, nous l'avouons !), il fallait bien que nous soyons confrontés à des situations cocasses. C'est arrivé dans un taxi quand Titouan s'est assis à côté de ces pictos... - "C'est quoi le dessin au milieu ? - Euh... des gens qui font la bagarre ! C'est interdit de faire la bagarre dans le taxi".

    Asie, nous revoila

    Pour nous, c'était avant tout notre point de départ pour partir dans les îles. Mais nous avons quand même bien sélectionné notre plage et notre hôtel. De luxe puisque les chambres étaient soldées à -70 % !

    Il a beaucoup plu pendant les deux jours passés à Phuket. L'air est très humide mais nous commençons à être habitués (ce n'est pas pire qu'en Corée du sud). De toute manière dans la (les plutôt) piscine(s) à 30°, ce n'est pas gênant...

    Asie, nous revoila

    Asie, nous revoila

    Asie, nous revoila

    Après plus d'un mois en Australie où les Français sont très rares, nous sommes tout contents d'en revoir plein. Au début, ça nous fait toujours ça. Après, nous nous lassons... Mais les Français qui arrivent de France s'en foutent un peu de rencontrer des compatriotes, ils ne partagent tous donc pas notre enthousiasme à l'idée de parler français ensemble. Nous en avons quand même croisé des sympas qui nous ont donné plein de bons conseils.

    De Phuket, nous avons pris le ferry pour l'île de Ko Phi Phi Don, puis un bateau longue-queue pour notre hôtel. Quand nous avons découvert le lieu de rêve où nous allions passer quelques jours, nous en sommes restés bouche bée... Quelques bungalows en bambou face à la mer et entouré par une végétation luxuriante, une jolie plage rien que pour nous, presque personne, un restaurant les pieds dans l'eau... Nous ne devions rester que deux jours. Finalement, nous en passerons quatre.

    Asie, nous revoila

    Asie, nous revoila

    Mais non c'est pour rire, c'est juste le village de pêcheurs. Les voila les vraies photos !

    Asie, nous revoila

    Asie, nous revoila

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    Asie, nous revoila

    Asie, nous revoila

    Asie, nous revoila

    Asie, nous revoila

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    Ko Phi Phi Don est, paraît-il, envahie de touristes en haute saison, à telle point qu'il vaut mieux ne pas y aller. C'est vrai qu'elle est superbe... En face, il y a l'île de Phi Phi Ley où se trouve la plage du film "La plage".

    Nous n'avons pas été gênés par les touristes. Par la pluie, un peu plus. Mais il a quand même fait beau par moment !

    Nos quatre jours se sont écoulés tranquillement mais étonnamment vite. Lola a passé des heures sur un hamac à regarder la mer (il fallait quand même la balancer pour qu'elle reste tranquille). Titouan a joué avec toute une colonie de bernard l'hermite. Il n'a jamais réussi à retenir ce nom et les a donc rebaptisés vers de marmite.

    Asie, nous revoila

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    Asie, nous revoila

    Asie, nous revoila

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    Djamel a atteint, au péril de sa vie vu le terrain rendu hyper glissant par la pluie, le beau point de vue du haut de l'île. On y voit le milieu de l'île, une bande de terre resserrée avec la mer de chaque côté. Les amateurs d'images à sensation sur le tsunami reconnaîtront l'endroit où une vague est arrivée de chaque côté prenant au piège tous les gens qui s'y trouvaient. Et c'est le lieu le plus peuplé de l'île...

    Asie, nous revoila

    Asie, nous revoila

    Asie, nous revoila

    En parlant de tsunami, nous y pensons évidemment beaucoup... Depuis 2004, des systèmes d'alerte ont été installés, des itinéraires d'évacuation existent dans les hôtels et des bâtiments spécialement prévus pour résister ont également été construits. Mais nous repérons quand même les points hauts et évaluons le temps nécessaires pour nous y rendre (Djamel avec un enfant sous chaque bras). Avant de partir, Sandrine avait assisté à une conférence fort intéressante de David Wilgenbus qui portait notamment sur les risques liés aux tsunamis. Un petit recyclage sur les dangers et les bons comportements qui ne pouvait pas faire de mal !

    Nous avons testé de nombreuses expériences thaïlandaises. Djamel s'est essayé au sport local, un mélange de foot et de volley. Il a également été réquisitionné pour pêcher des petits poissons au bord de la plage. Il devait taper dans l'eau pour les faire venir dans un filet. Nous avons trouvé ça très amusant jusqu'à ce que, le lendemain matin, au petit déjeuner, une des pêcheuses débarquent avec ses poissons pour nous les faire goûter... Il s'agissait d'une petite friture, ce qui est plutôt bon, mais au petit déjeuner, c'est dur ! Et pas moyen d'y échapper, nous avons dû en manger trois chacun. Djamel et Sandrine ont tenté de faire bonne figure, Titouan a recraché. Il n'y a que Lola qui a adoré.

    Asie, nous revoila

    Asie, nous revoila

    Sandrine a, elle, testé le massage thaïlandais. Elle ne recommencera jamais ! Elle a eu l'impression de passer sous un rouleau compresseur tellement c'était douloureux. Par contre, c'est certainement plein de bienfaits car on retrouve des postures de yoga et des manipulations que peuvent faire les kinés ou les ostéopathes.

    Le soir, nous avons eu droit à des spectacles de feu, très en vogue parait-il en Thaïlande.

    Et histoire de rendre le séjour un peu plus "Robinson", sachez quand même que nous n'avions de l'électricité que le soir, de l'eau uniquement froide et que nous nous sommes un peu battus contre les moustiques... Trop dure la vie !

    Les Thaïlandais adorent les enfants. Ils sont dans un registre que nous ne connaissions pas encore. Nous avons eu les Péruviens qui touchaient les cheveux, les Coréens qui prenaient des photos, les Turcs qui faisaient les yeux doux... Ici, ils font des farces, cachent les jouets, font des surprises... C'est une bonne tactique mais au bout de la quinzième fois de la journée où on leur pique leur jouet, les enfants ne rient plus beaucoup... Titouan, de son côté, trouve que les Thaïlandais parlent comme Tic et Tac.

    Nous avons quitté notre petit paradis à regret (en y oubliant aussi notre Guide du routard...). Mais la Thaïlande s'annonce bien ! Sandrine réalise d'ailleurs un de ses rêves d'il y a une quinzaine d'années (ça nous rajeunit pas !). Quand elle avait lu le livre "La plage" vers 18-19 ans, ce pays était tout en haut de sa liste de voyages...

    Nous sommes maintenant sur Ko Lanta. Nous cherchons Denis Brognard et nous vous raconterons après.

    A bientôt.

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  • Oh la la (expression typiquement française à l'étranger. Et à la SECI...) ! C'était pour rire ! Mais vous avez de la chance, il pleut ! Bien obligés du coup d'écrire cet article...

    Nous n'étions pas très emballés à l'idée de retourner dans une grande ville alors que nous étions tellement bien sur la plage ou dans les montagnes. Du coup, nous sommes un peu allés visiter Sydney parce qu'il le fallait bien. C'était l'état d'esprit du moment...

    Mais Sydney a été une très agréable surprise. Nous nous y sommes sentis vraiment bien. La ville n'a pas un patrimoine ou des sites historiques remarquables, mis à part son opéra et le Harbour Bridge. C'est donc l'ambiance qui nous a avant tout séduits.

    Nous avons fait le tour des quartiers intéressants (touristiquement parlant) du centre-ville, en commençant par la City, le secteur des buildings et des affaires. Ce quartier est surtout composé de grandes tours et d'avenues très larges. Par ci, par là, on voit une petite église ou un petit jardin qui semble minuscule et perdu. Parmi les immeubles très modernes, on retrouve aussi quelques bâtiments anciens qui ont gardé beaucoup de classe.

    Sydney bis

    Sydney, onze jours plus tard...

    Sydney, onze jours plus tard...

    Nous avons poursuivi par l'habituel Chinatown des grandes villes. C'est toujours surprenant de se retrouver d'un coup au milieu d'un univers complètement asiatique.

    Sydney, onze jours plus tard...

    Sydney, onze jours plus tard...

    Juste à côté, il y a le Darling Harbour. Pour les Nantais ou ceux qui connaissent Nantes, c'est un peu l'équivalent du Hangar à bananes et de la pointe de l'Ile de Nantes. Pour les autres, c'est un espace dédié au divertissement et à la fête. Au bord de l'eau, on trouve donc des restaurants, des bars, un aquarium, des salles de spectacles et plein d'animations sur les esplanades. Il y a du monde mais comme l'espace est grand, aéré et sans circulation, la balade est plaisante.

    Sydney, onze jours plus tard...

    Sydney, onze jours plus tard...

    Nous avons surtout passé beaucoup de temps du côté du Harbour Bridge, le pont qui relie Sydney au nord du port (si vous aviez un plan de Sydney, ce serait plus facile à vous expliquer !). Presque en face du pont, nous avons beaucoup aimé le quartier des Rocks. Menacé à plusieurs reprises de destruction, il a finalement été sauvegardé et est devenu un peu bobo. Nous y sommes allés un week-end et il y avait des marchés dehors, plein de monde aux terrasses des cafés et une ambiance détendue. De quoi avoir vraiment envie d'y flâner !

    Sydney, onze jours plus tard...

    Sydney, onze jours plus tard...

    Sydney, onze jours plus tard...

    Sydney, onze jours plus tard...

    De là, nous sommes allés voir un des bâtiments les plus connus du monde : l'opéra de Sydney, en forme de voiles. Et nous en avons bien profité puisque nous l'avons admiré de la rive en face, de près, de l'intérieur et même du ferry. Nous l'avons trouvé est effectivement beau et magnifiquement placé dans le Harbour.

    Sydney, onze jours plus tard...

    Sydney, onze jours plus tard...

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    Circular Quay relie le Harbour Bridge à l'opéra et est le port des ferrys. Nous nous y sommes pas mal baladés, même si, le dimanche, il y avait énormément de monde. Les citadins de Sydney semblent tous aller passer leur dimanche à la plage en prenant le ferry...

    Nous avons terminé par le Royal Botanic Garden, un très grand jardin au bord du Harbour. Peu courageusement mais au plus grand bonheur des enfants, nous l'avons parcouru en petit train.

    Sydney, onze jours plus tard...

    Sydney, onze jours plus tard...

    Sydney, onze jours plus tard...

    En Australie, le printemps commence et c'est visiblement le temps des mariages ! Le samedi, nous avons dû apercevoir une bonne dizaine de couples de mariés, dont l'un avait même organisé sa cérémonie au pied du Harbour Bridge et face à l'opéra. Le cadre est somptueux mais c'est bizarre de se marier au milieu des promeneurs, non ?

    Sydney, onze jours plus tard...

    Sydney, onze jours plus tard...

    Chaque soir, nous avons retrouvé avec plaisir notre camping à Narabeen. Les plages du nord de Sydney sont vraiment pas mal, la "nôtre" notamment. La plupart ont des bassins spéciaux pour la baignade, à cause des bestioles mais aussi des vagues.

    Sydney, onze jours plus tard...

    Sydney, onze jours plus tard...

    Nous étions en pleine vacances scolaires de printemps. Pour une fois, nous avons donc eu pas mal de voisins dans le camping. Mais, du coup, les enfants ont eu droit à des animations le soir. Lola a adoré la boom (ceux qui ont des ados, comment appelle-t-on une boom de nos jours ?). Elle a toujours beaucoup aimé danser. Ce soir-là, elle n'a pas arrêté une seconde et il a fallu la faire sortir de force ! Pour nous, ce fût plus éprouvant car la boom faisait aussi karaoké... Des gamines de 12 ans lancées sur leur chanson préférée, ça fait mal aux oreilles...

    Titouan a, lui, apprécié le cinéma en plein air, parce qu'il était dehors mais aussi parce que le dessin animé (Escape from planet earth) était bien. Nous aussi, nous avons passé un bon moment et tout compris en plus !

    L'Australie a été pour nous un voyage extrêmement agréable et serein. Nous avons beaucoup aimé l'ambiance cool qui y règne et le mode de vie des Australiens. Si à première vue, il peut sembler y avoir des similitudes, il est bien loin de celui des Américains. Les Australiens de la côte est aiment les loisirs, la bonne nourriture et le surf. Ils sont relativement discrets et ont de l'humour (ce doit être les origines anglaises).

    La côte est aussi le terrain de jeu idéal du "backpacker". C'est un concept peu connu en France mais très répandu en Australie, en Nouvelle Zélande, en Amérique du sud... Pour faire court, il s'agit de jeunes qui voyagent avec un petit budget dans l'objectif de s'amuser et de faire la fête. Ils vont dans des auberges de jeunesse, font la fête toute la nuit et le lendemain, partent en excursion toute organisée pour faire de la plongée et du surf sur les dunes. Nous allons en retrouver plein en Thaïlande.

    A propos de la nourriture, nous avons mangé tout à fait correctement. Ils ont une cuisine très internationale (italienne, japonaise, française, chinoise, mexicaine...) et peu de spécialités. Ils en ont quand même une délicieuse : le pavlova. Rien de très compliqué (nous en mangions d'ailleurs de temps en temps chez nous sans le nommer ainsi) : un socle de meringue, de la chantilly et le tout recouvert de fruits. La principale différence avec ceux que nous mangions en France est que la chantilly n'est presque pas sucrée et c'est là toute la différence... Attendez-vous à en manger à notre retour !

    Nous avions lu que le pays était très cher. En arrivant de Nouvelle Calédonie, ça ne nous a pas choqué. Certaines choses sont effectivement plus chères qu'en France : les hôtels, l'alcool, les yaourts (hors de prix !)... Mais comme nous allions dans des campings et ne prenions pas souvent l'apéro, nous nous en sommes bien sortis ! Seuls les yaourts auraient pu mettre le budget en péril, nous sommes donc passés aux pavlovas en dessert. Le taux de change semble aussi plutôt favorable en ce moment.

    Quant au choix du van et du camping, nous en sommes ravis. L'expérience aux Etats-Unis nous avait un peu refroidis mais en Australie, les conditions sont très différentes. Beaucoup d'endroits sont interdits au camping sauvage mais il y en a plein d'autres qui sont autorisés et les services dans les campings sont très complets. Avec notre mini-van, nous n'avons donc manqué de rien. S'il avait plu et que nous avions été obligés de passer plus de temps à l'intérieur, il aurait sans doute été trop petit mais juste pour y dormir, c'était parfait. Cette solution nous a, en tout cas, pas coûté cher (23 € par jour).

    Il y a par contre un truc auquel nous avons pas réussi à nous habituer, même si nous avons fait des efforts. C'est le rythme de vie dans les campings. Les Australiens sont debout dès 6h du matin. C'est le moment idéal pour planter les piquets de la tente au marteau, engager une grande discussion avec son voisin, faire faire du vélo aux enfants... A 15h30, ils prennent leur douche pour être prêts pour l'apéro à 17h (avec toujours du vin dans un verre à pied, pas question de gobelet !). Ils dinent à 18h et se couchent à 20h. Du coup, nous avons toujours été en décalage ! L'avantage, c'est que nous avions toute la place dans les douches ou à la cuisine. L'inconvénient, c'est que nous nous sommes une fois retrouvés dans le noir en allant diner à 20h30...

    En Australie, il y a des piscines et des jeux aquatiques partout. Les enfants ont donc bien progressé en sauts, têtes sous l'eau, nages petit chien et toboggans :

    Nous sommes bien conscients que la partie "Australie" n'aura pas été la plus palpitante pour vous sur ce blog. En effet, pas de galères (sauf un trajet de nuit en voiture un peu mouvementé), pas de sites hyper spectaculaires, pas de découvertes incroyables. Nous, c'est vraiment l'ambiance qui nous a séduits et ça, c'est plus compliqué à faire transparaître par écrit...

    Mais rassurez-vous, la Thaïlande s'annonce tout autrement...

    A bientôt !

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  • Nous avons beaucoup de retard dans la mise à jour du blog... Une grosse flemme, peut-être dûe aux plages thaïlandaises (nous ne pouvons plus accuser le manque d'internet ici)...

    En résumé, Sydney, c'était bien. Bon, maintenant, nous retournons à la plage.

    A bientôt !


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  • Après Glen Innes, Sandrine et Djamel ont fait une compétition des plus belles chutes d'eau. Armée de ses deux guides de l'Australie, des documents et des conseils de l'office du tourisme local, Sandrine avait emmené tout le monde voir les chutes du Parc du Boonoo Boonoo (voir l'épisode précédent). Djamel avec juste la carte routière a choisi celles d'Ebor, sur la route vers la mer. Bon, Sandrine doit avouer qu'il a gagné...

    Bleues, bleues, la mer et les montagnes

    Bleues, bleues, la mer et les montagnes

    Bleues, bleues, la mer et les montagnes

    Nous devions ensuite retourner à Port Stephens (notre toute première destination en Australie) pour aller voir les baleines. On peut en voir sur toute la côte en cette saison mais une petite étude de marché nous avait fait choisir cette destination où les prix étaient corrects. C'était sans compter sur notre voisin de camping, un vieux beau un peu bourré qui se couchait anormalement tard pour un campeur Australien et tentait d'attirer des filles dans sa caravane. Mais ces précisions n'apportant rien à l'histoire, revenons à nos baleines !

    Nous expliquons donc à notre voisin notre programme de voyage et ni une, ni deux, il nous conseille vivement de changer de destination pour aller à Foster à la place. Il a des arguments imparables. Ce sont les petites vacances de printemps en ce moment, nous aurons beaucoup de monde à Port Stephens alors qu'à Forster, ce sera plus calme et "very lovely". Et en plus, là-bas, il n'y a qu'une seule compagnie qui propose d'aller voir les baleines, c'est donc moins l'industrie.

    C'était donc parti pour Forster ! Et nous remercions le vieux beau pour ses conseils ! En effet, le coin est absolument superbe. Quel dommage de passer à côté (car nos guides étaient assez peu loquaces sur cette station balnéaire).

    Bleues, bleues, la mer et les montagnes

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    De plus, nous avons pu aller voir nos baleines pour un prix défiant toute concurrence, dans un petit bateau pas trop plein et le seul dans la baie à faire du "watch whale". A notre plus grande joie, nous en avons vu plusieurs nager autour du bateau, souffler de l'eau, taper la mer avec leur queue et même sauter. Néanmoins, elles ne nous ont pas fait le même spectacle que dans les Whitsundays où elles sautaient beaucoup plus. Nous l'attendions depuis longtemps et ce fût un chouette moment. Pour les photos, n'espérez pas trop... Nous n'avons pas fait mieux que la première fois... Mais dans cet article, vous aurez la chance de ne voir que des animaux vivants (vous paraissez un peu trop choqués à la vue d'un kangourou mort) !

    Certains passages de la balade en bâteau étaient tellement périlleux que nous avons été obligés de mettre les gilets de sauvetage. Nous vivons dangereusement ! Encore un vieux rêve de Titouan réalisé... A chaque fois que nous prenons l'avion, il espère que nous aurons un accident pour pouvoir porter le gilet de sauvetage et respirer dans les masques à oxygène (c'est super de voyager avec des enfants !). Sur le bateau, il n'y avait malheureusement pas de taille enfant...

    Bleues, bleues, la mer et les montagnes

    Nous sommes ensuite allés observer des dauphins. Ils s'approchent beaucoup plus et restent à côté du bateau. C'est mieux pour les photos !

    Bleues, bleues, la mer et les montagnes

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    Après, comme nous avions le mal de mer, nous nous sommes contentés des pélicans. A ce propos, il y a énormément d'oiseaux en Australie : des perroquets, des échassiers, des canards... Nous ne nous y connaissons pas en oiseaux mais certains ont quand même des physiques parfois surprenants... Néanmoins, ils n'ont vraiment pas réussi à nous attirer leur sympathie. Loin de là ! Figurez-vous que ces satanées bestioles font un boucan pas possible dès 5h du matin, TOUS les matins. Et à 6h, ce sont les voisins qui prennent le relais...

    Nous avons ensuite atteint l'avant-dernière étape de notre voyage en Australie : les Blue Mountains. Elles se situent à une centaine de km à l'ouest de Sydney et ont longtemps constitué une barrière infranchissable pour les colons. Pour nous, c'est surtout un paysage à couper le souffle à certains moments !

    Bleues, bleues, la mer et les montagnes

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    Heureusement pour les petites jambes de nos enfants, pour visiter les Blue Mountains, il y a "Scenic World" ! Les Australiens raffolent du "fun" (au moins, pour les Australiens de la côte est). Tout doit être amusant ou sportif (ces deux notions ne peuvent pas aller ensemble dans l'esprit de sandrine). Nous avons donc choisi la version "fun", c'est à dire Disneyland Blue Mountains. Il s'agit d'une télécabine, d'un téléphérique, d'un train et de sentiers qui permettent d'atteindre différents points de vue et de profiter du paysage sans faire de randonnée.

    Bleues, bleues, la mer et les montagnes

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    Nous avons donc admiré les "three sisters" d'en haut, observé les immenses fougères du bas, survolé la forêt, aperçu des cascades et vu au passage quelques vestiges de mines. C'est très beau.

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    Les enfants (et pas qu'eux d'ailleurs...) ont beaucoup aimé le train qui monte ou descend une pente à 64°. ça commence à être bien raide ! On a donc un peu l'impression de tomber dans le vide. Nous avons dû faire quatre fois cette attraction...

    Nous nous moquons de Disneyland Blue Mountains mais c'est bien fait et intégré dans le paysage...

    Puis, il a été temps de rentrer vers Sydney pour profiter un peu de la ville.Sur le chemin, nous nous sommes arrêtés dans un parc animalier, surtout dans le but de voir des koalas. Nous avions en effet un peu perdu l'espoir d'en voir en liberté vu qu'ils dorment 22h par jour accrochés en haut de leur eucalyptus. Ce petit parc sans prétention était très bien pour nous. Lola et Titouan ont pu caresser des koalas, nourrir des chèvres (au début, ils devaient nourrir les kangourous mais ceux-ci sont tellement gavés qu'ils n'avaient plus faim, voir un crocodile immense, le 4ème serpent le plus dangereux du monde et même une tortue, que Lola aime toujours autant. Le seul animal qui était caché était le diable de Tasmanie (Taz !). Dommage...

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    Nous avons donc pu confirmer que Lola savait très bien s'accrocher comme un koala, avec sa mère dans le rôle de l'eucalyptus (dommage qu'elle ne dorme que 10 heures par nuit, elle !)...

    Pour tout vous avouer, après plus d'un mois à vivre dehors en allant de plages en montagnes, nous n'étions pas très chauds pour retourner dans une petite chambre d'hôtel en centre-ville... Comme il fait toujours aussi beau, nous avons donc décidé de garder notre van et d'aller dans le seul camping à proximité de Sydney, celui de Narabeen. Nous ne regrettons pas !

    L'épisode "Sydney" sera pour un autre jour...

    A bientôt.

     

    Comme d'habitude, nous avons un petit décalage... Notre arrivée à Narabeen date du 26 septembre.

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  • En direct de la bibliothèque de Glen Innes... où la bibliothécaire est trop sympa. Les seuls mots qu'elle sait dire en français sont "Je voudrais une bière".

    Les plages de Bowen étaient jolies mais ce n'étaient certainement pas les plus belles du monde... En général, quand un Français nous donne un conseil de visite, nous le suivons car ils sont tellement critiques et exigeants qu'on peut leur faire confiance. Notre Française était en Australie depuis 45 ans. Son sens hyper critique s'était donc un peu émoussé...Les plages étaient donc pas mal mais certaines puaient le poisson pourri. ça gâche un peu le plaisir !

    40° à l'ombre le lundi, 15° au soleil le vendredi

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    Après ça, nous avons pris la route pour aller dans l'intérieur des terres, à la limite de l'Outback, histoire de voir un autre visage de l'Australie. Effectivement, c'est très différent de la côte. Nous avons enfin vu les images si caractéristiques du pays : terre rouge, aride, désertique et terrain plat sur lequel de grandes collines semblent posées.

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    Et la température a beaucoup grimpé ! Une quarantaine de degrés à l'ombre dans la journée, ça fait chaud... C'est en plus une chaleur très sèche, qui brûle. Même Sandrine et Titouan avait trop chaud...

    Nous avons passé la nuit à Clermont, ville perdue dans le bush mais qui comprend de nombreux bars (pleins) dans une rue unique façon western. Les gens aussi sont assez différents de la côte. Nous avons laissé les surfeurs pour les stockmen, les cowboys et surtout les mineurs. Mais toujours pas d'Arborigènes qui semblent vraiment rester sur leurs terres. Nous en avons vu moins de 10 jusqu'à présent. La société australienne essaie aujourd'hui de réparer des erreurs mais la négation de leur présence qui a été faite pendant des dizaines d'années se fait toujours sentir.

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    Nous avons été très impressionnés par la quantité d'exploitations minières dans cette région. En fait, il n'y a que ça avec quelques fermes. L'Australie tire ses principales richesses de son sous-sol : or, charbon, uranium, diamants, nickel... Il y a donc toutes sortes de mines dans ce coin, grandes, petites, modernes, vétustes, confidentielles...

    A part ça, il n'y a pas grand monde qui vit à l'intérieur des terres dans ce coin du Queensland. La grande majorité de la population australienne (qui ne compte d'ailleurs que 22 millions d'habitants pour un pays aussi grand) vit sur la côte entre Melbourne et Brisbane. On peut le comprendre... L'environnement est effectivement beaucoup plus hostiles dans les terres, notamment en raison de la chaleur et de l'aridité.

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    Vue la chaleur, nous avons donc choisi la meilleure option de visite dans le coin : une mine de saphirs. En effet, il existe une zone d'extraction de pierres précieuses où les villages portent des noms évocateurs. Sapphire, Rubyvale, Emerald, Gemfields... Les exploitations sont restées très artisanales et petites. C'est amusant de voir toutes les cabanes de mineurs de bric et de broc disséminées au bord de la route.

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    Il faisait donc très bon dans la mine et nous avions un guide aux petits soins qui s'assurait toutes les 5 minutes que nous comprenions bien tout ce qu'il disait. Evidemment, nous disions oui à chaque fois... Nous avons quand même appris des trucs intéressants, notamment sur la couleur des pierres (les saphirs ne sont pas forcément bleus, les rubis sont des saphirs) et leur valeur (la transparence et le couleur comptent plus que la taille). Il y avait aussi pas mal d'explications géologiques mais là, nous avons eu plus de mal à suivre...

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    Puis, il a bien fallu ressortir de la mine... Nous avons ensuite fait une petite halte à Emerald pour voir sa gare.

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    Oh tiens ! Un serpent sur la route ! Après vous avoir tant parlé des bestioles, il faut bien vous prouver qu'il y en a...

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    Et puis, Djamel a conduit sur 1 200 km en 24 heures ! Nous devions vraiment avancer pour profiter de la suite du séjour. Nous avons donc choisi l'option de faire beaucoup de route d'un coup et notamment de rouler de nuit. Ce fût un vrai périple...

    Evidemment, tout ne s'est pas passé comme prévu. Ce fut la seule fois où il a plu depuis que nous sommes arrivés... Et pas de la bruine, des orages avec éclairs et tout qui nous ont suivi pendant toute la nuit ! Evidemment, un des essuie-glace est tombé en panne (il avait sûrement déjà un problème avant mais nous ne nous en étions jamais servis). Djamel s'est donc arrêté dans le premier endroit où nous pouvions trouvé de l'aide : une caserne de pompiers, où il a été accueilli à bras ouverts !

    Un pompier a donc resserré la vis de notre essuie-glace très gentiment. Comme ça n'a pas suffit, nous avons dû aussi nous arrêter dans une station-service où Djamel a fait un mine très réussi d'essuie-glace. Comme ça n'a pas suffit non plus, Djamel, après déjà quelques centaines de km au compteur, a dû rouler avec une main dehors, sous l'orage, pour empêcher l'essuie-glace de trop partir sur le côté et se s'y coincer... Et finalement, au milieu de la nuit, ça s'est terminé avec un bout de ficelle !

    C'était la journée des ennuis de voiture puisque juste avant, Sandrine avait oublié de remettre le bouchon du réservoir de carburant et qu'il est donc resté posé sur une pompe et qu'il a fallu en racheter un. En fait, Sandrine n'a pas vraiment oublié. Djamel lui a demandé de fermer le réservoir. Toujours très peu concernés par les voitures, Sandrine a juste refermé le clapet, sans penser qu'il y avait aussi un bouchon...

    Le soir, nous avons fait une pause à Roma. Cette ville n'a rien de particulier mais nous y avons trouvé les gens d'une gentillesse incroyable. Ils étaient très surpris de voir des touristes s'arrêter chez eux et nous ont donc accordé beaucoup d'intérêt. C'était vraiment sympa.

    Depuis le début, nous voyons énormément de kangourous écrasés au bord de la route mais jamais de vivants. Nous avions donc un peu la trouille d'en voir plein sur la route la nuit. Et oui ! Parce qu'ils ne sortent que la nuit ! Du crépuscule à l'aube, Djamel a donc pu en voir des dizaines qui l'ont regardé sagement passer. Ouf !

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    Les enfants ont beaucoup aimé cette nuit dans le van. Il faut dire qu'ils étaient installés comme des rois. Sandrine aussi a très bien dormi pendant que Djamel se battait comme les éléments en surveillant les kangourous...

    Après ces 1 200 km, Djamel a eu sa récompense : un mobil-home à Hasting Point, à nouveau au bord de la mer. Nous étions dans un camping "Big 4", nos préférés, avec jeux d'eau, piscines et "Galipi" de fou... et le wi-fi qui marchait trop bien ! Les enfants (et Djamel) se sont beaucoup amusés. Titouan s'est même endormi de fatigue sur les toilettes le soir.

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    Isabelle et Caroline auront sans doute noté que nous avons changé les lycras de nos enfants. En effet, ils faisaient trop ploucs avec leurs combis Décathlon par rapport aux petits surfeurs Australiens... Nous les avons donc relooké couleur locale. Les Australiens étant tellement prudents avec le soleil, c'était sûrement le meilleur pays pour acheter des maillots de bain à Titouan et Lola.

    Les campings sont globalement très bien en Australie. Nous sommes donc ravis de notre choix de voyager en van. Nous alternons deux catégories : les campings classiques et les "holiday park". Les premiers sont déjà très bien et proposent de nombreux services : laverie (toujours l'obsession du linge de Sandrine...), cuisine équipée, salle de bain familiale (grande et avec une baignoire), échange de livres, prêt de DVD... Les "holiday park" ont en plus des jeux pour enfants, des piscines, des animations, des cafés...

    Et partout, on trouve des barbecues à gaz qui ressemblent à des planchas. Il y en a dans les campings, mais aussi dans toutes les aires de pique-nique et sur les bords de plage. C'est vraiment une institution ici !

    Maintenant, nous sommes repartis vers l'intérieur des terres. Nous sommes dans le New England et ça n'a rien à voir avec l'Outback dans le Queensland. Tout est vert, vallonné et il fait beaucoup plus frais. Beaucoup plus le genre de l'Angleterre en fait.

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    Nous avons commencé par Tenterfield, petite ville historique. Elle se trouve à proximité de plusieurs parcs nationaux. Nous sommes donc allés voir les chutes d'eau du Parc du Boonoo Boonoo. Pas mal !

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    Nous avons également envisagé d'aller visiter le Parc de Bald Rock. Les photos que nous avions vues de certains sites étaient assez spectaculaires. Mais la durée de la promenade (parle-t-on encore de promenade à ce niveau ?) la plus courte était annoncée de 3h30. Avec des petites jambes de deux ans et quatre ans, on peut doubler le temps... Nous avons donc abandonné avant d'avoir essayé !

    Puis, nous sommes descendus à Glen Innes, autre ville historique datant de la fin du XIXème - début du XXème siècle. Il s'agit d'une ville fondée par des colons d'origine celte et on y retrouve encore de nombreuses traces de ces premiers habitants. Il y a même un drapeau breton sur la façade de la Mairie !

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    Pendant que certains admirent les bâtiments, d'autres pensent déjà à Noël...

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    Mais l'attraction locale, ce sont les pierres celtiques. Comme nous devons avouer que nous n'avons pas tout compris à l'origine de ces pierres, nous n'allons pas nous y étendre... Les monolithiques sont disposés en cercle et représentent globalement des repères de temps.

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    Il y a aussi un Excalibur que nous avons tous essayé de sortir de son socle. Sauf Lola pour qui c'était avant tout l'heure du goûter...

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    Comme nous ne sommes jamais contents, nous nous plaignons du froid ici. ça caille ! La nuit dernière, il devait faire 5° et il y a du vent. Dans le van, c'est pas chaud ! Nous sommes en altitude, ceci doit expliquer la chute brutale des températures.

    Nous repartons maintenant à nouveau vers la mer, en espérant qu'il ne fasse ni chaud, ni froid...

    A bientôt.

     

    Cet article a été rédigé le 21 septembre mais publié le 24...

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